Abbaye
Notre-Dame de la Roche |
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difiée, selon une tradition
populaire, pour abriter une statue de la Vierge
déterrée miraculeusement par un taureau. En 1196,
Guyon, curé de Maincourt obtint de l'abbé de
Saint-Denis une terre écartée dit "La Roche"
pour y fonder un ermitage en 1201.Puis s'y développa en
1226 une communauté de moines qui furent entretenus par
Gui 1er de Lévis et devinrent chanoines réguliers de
Saint-Augustin. En 1232, Gui 1er se distingua auprès de
Simon de Montfort, dans la fameuse croisade contre les
Albigeois, et fit par charte une donation pour construire
là une abbaye dont Thibault de Marly (saint Thibault),
abbé des Vaux-de-Cernay, surveilla l'édification. |

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partir du XIVe
siècle, commence la décadence de l'abbaye de Notre-Dame
de la Roche, jusqu'alors prospère grâce aux seigneurs
de Lévis.Les guerres, puis la Commende, causèrent la
ruine presque totale de l'abbaye, tant qu'au XVIIème
siècle, elle n'était plus qu'une chapelle dépendante
des châtelains du Mesnil, la famille Habert de Montmor. |
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ependant jusqu'à la Révolution,
elle demeura très fréquentée lors des pélerinages en
l'honneur de la statue de Notre-Dame de la Roche. En
1809, suite au partage du domaine devenu bien national,
la statue fut transférée à l'église de
Lévis-Saint-Nom. Vers 1850, les Lévis-Mirepoix
rachetèrent l'abbaye qu'ils restaurèrent et mirent à
la disposition de l'orphelinat de l'Assomption
d'Elancourt. Un siècle plus tard, des religieuses y
créèrent une école de jardiniers, oeuvre poursuivie
par l'actuel Centre professionnel horticole dont
l'activité amine les lieux. Par ailleurs, messes et
cérémonies religieuses sont régulièrement
célébrées dans l'église. |

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Intérieur
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© Olivier FAUVEAU
- 2001 |
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à l'accueil
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